Ping Pong

Throdenken Mer 2 Jan - 16:28

Bon puisque pas mal de gens aiment bien le role play et que moi aussi ^^

On va faire (ou essayer) un vieux truc de mon ancienne guilde, ca s'appelle le Ping-Pong.

Le principe est tout simple, on raconte une histoire, on s'arrete, et quelqu'un la poursuit dans le meme topic. Compliqué hein ? Le seul critère est bien sur de poursuivre l'histoire de l'autre, tous les coups sont permis (a part la mort de personnage car ca sera chiant pour ceux qui veulent poster), mais renversement de situations, rebondissements, a condition qu'ils soient habilement menés Ping Pong Icon_smile

Aussi pas de smileys, et enlevez les signatures pour une lecture globale plus lisible ( Pour ceux qui font des fautes allez y gaiement on les corrigera )

Allez hop je commence par un truc court pour mettre tout le monde en jambes :

Il fut un temps ou tout était calme dans les plaines de Kalimdor. Les jours se succédaient les uns après les autres, avec une interminable routine. Ce que je vais vous raconter, est l'histoire " Des Loups de Spartes ". Nous sommes des amis, des frère d'armes, des frères de sang. Notre communauté se compose de toutes les races de Kalimdor, Orcs, Trolls, Taurens, Mort-Vivants. Notre chef se prénomme Undeaddoll, puissante Mage qui a dompté le feu. Elle est respecté et crainte de tous. Puis ensuite, viens Arphores, puissant chaman qui abomine le combat magique, qui prefere se battre au corps a corps. Carpaccio, redoutable Démoniste, qui a su asservir maintes démons. Puis bien d'autre combattant encore tels que Lynna incoyable démoniste, Darlingtonia qui elle aussi contrôle les ombres ainsi que d'autre redoutable compagnons.
Tout le monde se respecte, et personne ne parle de leur pouvoir, car il ya une règle d'or quand tu rentre dans la gulde : " Tu dois oublier ton passé. Ici une nouvelle vie commence pour toi. Tes
secrets et, tes pouvoirs sont les tiens et tu en fera ce que bon te
semble".

Mon histoire n'est qu'une suite de longue péripétie.Je me nomme Calimerro. Je suis un Tauren. Depuis tout jeune, on m'a former pour le combat. Pour moi, la seule force est la mienne et celle de ma Puissante hache " Sang-Eternel ". Elle m'a été donné par le plus grand guerrier qui est exister. Il fut mon mentor, le père que je n'ai jamais eu. Il m'a tout appris.Puis, un jour il m'a remis cette arme, grande, rouge comme le sang et m'a dit :

" Cette arme fu la mienne il y a bien longtemps. Aujourd'hui je te la donne, car tu a été mon meilleur élève. Tu as su maîtriser toutes les formes de combats. Tu es devenu puissant et sage.Cette hache se prénomme " Sang-Eternelle ". Elle a été forgé par de puissant Magiciens qui ont mis le pouvoir de notre terre en elle. Mais fait très attention, cette Hache aime par dessus tout le sang, et si jamais tu te laisse envahir par la fureur du combat elle te fournira la force necessaire pour tuer mais, tu sera enragé et donc, amis et ennemis, il n'y aura plus de différence."

Puis je suis partis a l'aventure, je me suis mis au service des plus offrants, a la fois pour combattre et vivre. Je me suis fait un nom. Mais un jour, je me suis engagé dans une troupe de mercenaire car, on avait dit qu'il y aurait un magnifique combat contre " Les Loups de Spartes", puissante guilde. Et ce jour venu, la rage du combat, l'excitation de ma hache. La guerre commenca. Je me jettais dedans, hachant, frappant, avançant sans relache au coeur de la bataille. Puis au bout d'une heure de combat je me retrouva seul, et la je le vis. Il iradiat de lui une telle puissance, une terreur que cela m'excitat encore plus. Elle le voulait. Il tourna la tête et me vis, nos regards se croisèrent et la je le vis invoquer un puissant démon avec une Hache. Il l'envoyat et je le combatit. Il était fort, même bien plus fort qu'il n'y parassait. Ce fut un combat titanesque, plus rien n'exister pour moi a part ma cible. Le combat dura toute la journée, je ne pouvais l'approcher a cause de son démon mais, je le voyait se fatiguer car, j'arrivais a esquiver avec peine beaucoup de ses sorts. Puis a un moment, je réussit enfin a terrasser le démon, mais je n'avais plus la force de combattre. Mon ennemi était aussi arriver au bout de ses forces. Nous nous regardâmes, chacun ne voulant pas abandonner. Puis dans un ultime élan, je me jettais sur mon adversaire, avec un cri de rage, je courru sur lui, le provoquant. Je le vis incanter, une masse sombre apparu dans sa main, et la, il me l'a lança et je ne pu l'esquiver. Je réussit tout de même a la parer avec ma hache mais cela ne fut pas suffisant. je tombais a la renverse, le souffle court. Je perdis connaissance.
Quand je me reveilla, j'atais allongé à côté d'un feu, mes blessures étaient bandées. J'ouvris un oeil et je vis mon adversaire. Il me parla :
" Tu es un valeureux combattant, fort et sans peur. Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu d'adversaire a ta mesure" dit il avec un sourire.
"Je me nomme Carpaccio, et laisse moi te conter une histoire, je te laisserais un choix, qui changera ta vie ..."

Carpaccio Mer 2 Jan - 20:15

"Je vais déroger a la règle des spartes et t'expliquer qui je suis et pourquoi avoir rejoint ce clan.". Je pris alors une longue inspiration et je me lanca dans un récit succin de ma vie."
"Je suis issue d'une famille d'agriculteurs, je te passerais les détails merveilleux de mon enfance, il ne compte pas dans ma vie. Très jeune je fut retirer a ma famille afin d'apprendre l'art du combat, je n'y trouvais pas mes marques et je doit l'avouer je n'excellais pas dans l'art du maniemant des armes. Mon apprentissage fut long et parsemé d'embuche jusqu'au jours de mes 10 ans." Ma gorge se noua, mais pour faire comprendre a se guerrier hors norme les bienfaits d'un clan unis et solidaire en tout point , je me davais de continuer.
"Un messager arriva au camp d'entrainement et m 'apporta la triste nouvelle du massacre de ma famille par des eclaireurs alliance. Ma colère fut terrible , ma rage décuplée , personne ne put arreter ma folie, mon ame bascula dans le neant, et de cette reaction en chaine vint l'incantation de mon premier démon. Je ne te cacherais pas le fait que je ne pu le maitriser, je fut très vite mis a terre par ma propre creation.J entendit alors le bruit d'une sombre incantation, mon démon se figea hors de l'espace et du temps , une voie venue des abimes retentie et me dit : Jeune Carpaccio, je te suis depuis ta naissance, je savais qu'au fond de toi se trouvait des pouvoirs enfouis, je te laisse le choix d'apprendre a les maitriser ou celui de te laisser consumer...."
Le visage de Calimerro s'aassombit , je compris qu'il devait savoir ce que je ressentit a l'époque.
"Je pris evidement le choix de maitriser les ombres , mais je t'avoue que mon but n'etait pas allouable, en effet je vouais toutes mes forces et ce qu'il me restait d'ame a la vengeance, mon maitre pris le temps et eu la patience de m enseigner tout ce que je devait savoir , le reste je dut l'apprendre par moi-meme. Des annees passés sur les routes de Kalimdor a traquer mes enemis a parfaire mes dons, me forgèrent un esprit solitaire. Toutefois je croisas des personnes qui reussirent a me canaliser, ses personnes sont les loups de spartes, dans ce clan peu importe ton passé, peu importe les rapines , les pillages, les meurtres ou autres mesactions que tu as pu commetre , ici tu n'as plus de passé , juste un avenir, nous sommes tous unis par l'art de la guerre, tous unis dans notre allégeance a la horde, tous unit afin de détruire l'alliance et leurs comparses. Je ne te promet pas un avenir sans taches, tu sera souvent blesser, tu vera mourir des gens que tu aura apris a apprecier, mais quel honneur de te battre a coté des meilleurs et de mourir pour eux, ce choix t'appartiens désormais, rallie notre cause ou continu ta vie de non sens. Je t'avoue que je prefererais me battre a tes cotés plutot que d'etre une nouvelle fois opposer a toi".

Darlingtonia Jeu 3 Jan - 13:43

Au petit matin, je décida d'aller rendre visite à cet inconnu que Carpaccio avait recueilli dans sa demeure. Comment étais-je au courant ? Tout simplement car ce dernier était venu me trouver pour m'emprunter le nécessaire pour le soigner.
Carpaccio m'avait conté rapidement leur rencontre et leur bataille qui avait duré une journée entière. Je fut trés étonnée de voir briller dans ses yeux une étincelle de bonheur qui signifié un grand respect pour le combattant qui lui avait tenu tête, chose assez rare ma foi.
C'est donc d'un pas trés curieux et amical que je me dirigeais vers la demeure de mon ami. Par la fenètre, on pouvait voir un feu bruler dans la cheminée, Carpaccio assis sur une chaise et l'inconnu allongé dans le lit, attentif au discours de mon ami. Que pouvait il bien lui raconter ? Le connaissant, il devait lui narrer son enfance malheureuse, son apprentissage, la découverte de la maitrîse des ombres et son entrée dans le clan.
Après avoir frappé a la porte, il m'invita à entrer. Je déposa sur la table une marmitte de soupe encore fumante car après avoir livré bataille si hardement, il n'y a rien de mieux qu'une bonne assiette avec de bons gros morceaux de viande pour vous requinquer !!!
Quel fut ma surprise de découvrir un Tauren allongé dans le lit !! Un vent de panique m'envahit en voyant cet être immense et impressionnant, tellement grand à côté de l'elfe que je suis. Carpaccio sentant la panique m'envahir, se levat, vient à mes côté et tout en me prenant la main, me sourit. Il me présentat à son invité, il me présentat le valeureux combattant qui lui avait tenu tête. Je réussi à contenir la peur en moi jusqu'à ce que Calimerro se leva de la couche où il était étendu et là .... la peur que je croyais avoir réussi à contenir se décupla et finit par prendre le dessus et, ne me controllant plus, Jhuunghun, surgit de nul part, armé de sa hache , toujours prêt à me défendre.
Carpaccio, grâce à ses paroles, ses gestes et son regard, réussi à me calmer, à m'apaiser. Il m'expliqua que je n'avais rien à crainte.

Throdenken Ven 4 Jan - 2:40

Des que je vis rentrer cette nouvelle personne dans la pièce je vis tout de suite qu'elle n'était pas a l'aise. Elle avait le reagard hébété, le sourire forcée. Lorsque je me leva pour faire les présentations, sa peur pris le deçu et, elle invoqua un démon comparable a celui que j'avais combattu plus tot dans la journée. Mon intinct reprenant le dessus et, sans que je le veuille ma hache était deja dans ma main. Ayant anticiper cela, mon nouvel ami s'interposa, il posa calmement sa main sur la mienne et me regarda. Puis, il se tourna vers la jeune inconnue et fit de même, lui dit quelques mots, un sourire, un regard et tout rentra dans l'ordre. Le démon disparu comme il était venu. Je posa ma hache a côté du lit, toujours a porter au cas ou ... Puis Carpaccio fit les présentations :

" Mon cher Ami, je m'appel Carpaccio, je suis un démoniste appartenant a la Tribu des Loups de Spartes. Mon amie se prénomme Darlingtonia. Elle aussi comme tu as pu le voir, a les même pourvoirs que les miens. Et toi puissant guerrier comment t'appel tu ?"

" Je m'appel Calimerro' wor sabot-de-sang, mais appeler moi simplement Calim. "

Après cet brève présentation, Carpaccio me donna un peu de ragout qu'avais porter Darlingtonia. Il était revigorant et cela me fit du bien.
Tout en mangeant, Il continua a me parler de la guilde dans laquel il était, et me présenta succintement tous les membres importants qui l'a composé. Puis, une fois le repas finit, ce puissant magicien me proposa que je l'accompagne pour qu'il me présente a son maître de clan, qui s'appelait Undeaddoll. Je lui répondi qu'il n'y avait pas de problème.
A la fin du repas, nous nous rhabillames. j'enfila juste ma tenu de corps, pris ma hache que j'attacha a mon dos et nous partîmes...

Undeaddoll Ven 4 Jan - 20:41

Carpaccio mena le groupe dans la forêt des Pins Argentés, la route avait été longue et la nuit commencait à tomber.
Ils atteignirent une grotte au dessus de laquelle tronait un immense arbre mort, le vent soufflait à travers les branches semblables à des mains decharnées, les faisant craquer.
Une odeur nauséabonde emplissait l'atmosphère, une odeur de sang ...
Calimerro demanda alors : " Alors ? Et maintenant ?"
Carpaccio lui repondit à voix basse : "Patience mon ami." Et avança de quelques pas vers cet antre noyé dans les ténèbres,
Alors retentit dans la foret un long hurlement, un hurlement de bete, un hurlement de loup ...
L'air devint étouffant, brulant, et apparurent dans le noir de la grotte deux yeux jaunes ...
Une voix grinçante cria : " Qui va la ? "
Carpaccio prit la parole : " Ahou maître, c'est Carpaccio..."
Un claquement de doigts se fit entendre et les torches ornant les parois s'enflammèrent. Le groupe entra...

Les yeux du guerrier s'habituant peu à peu à la pénombre, il regarda autour de lui, l'endroit était immense, le plafond et les murs etaient décorés de symboles, étranges, des yeux, uniquement des yeux... Puis ils arrivèrent au centre, une table était disposée, et sur cette table, un nain, eventré.
La créature assise à ce sinistre festin tourna lentement la tête vers ses visiteurs :
"- Carpa, mon ami, que m'apportes-tu la ?
- Maitre, excusez moi de vous déranger en plein ... repas .Je viens ici vous presenter le tauren, qui fut pour moi un adversaire redoutable le jour dernier."

Ce qui semblait jadis avoir été humaine , plongea sa main dans les entrailles du cadavre pour en retirer le coeur sanglant qu'elle lecha et devora en une bouchée.
Puis se levant dans un cliquetti d'os, s'avanca vers le guerrier, le visage décomposé par le spectacle.
"- Et bien Tauren, n'as tu jamais vu de mort-vivant ?
- Si, mais ...
- Alors retire moi donc cette peur de tes yeux ! Je ne vais pas te mordre ! Du moins pas pour le moment ..."

Le visage de la morte était recouvert de cicatrices, et ses yeux, brillants, comme des topazes, semblaient tout droit sortit du goufre des enfers.
Malgrés le stade de décomposition avancée qu'elle offrait, on pouvait encore deviner la beauté qui était sienne de son vivant, beauté aujourd'hui changée en un masque macabre
dénué de douceur ou tout autre délicatesse.
Elle tourna autour de la recrue, l'examina, et exquissa un sourire découvrant ses canines aiguisées, lorsqu'elle vit la hache qu'elle caressa du bout de ses griffes encore couvertes de l'hemoglobine naine.
" - Quel est ton nom ?
- Calimerro mais vous pouvez m'appeler ...
- Alors Calim qu'est ce qui te donnes l'audace de venir pertuber mon diner ?
- Je viens à vous pour remercier votre clan d'avoir soigner mes blessures et aimerais vous rejoindre."

La mort vivante ricana :
"- Je n'y suis pour rien, Carpa a insisté, j'etais plutôt d'avis de te laisser pourrir avec le nain que tu vois la bas !
Tu veux être des notre dis tu ? Prouves le !
- Comment madame ?
- Viens avec moi ..."

Ravenhell Dim 6 Jan - 19:56

En l'espace d'un instant la goule disparue dans l'obscurité de la grotte. Le tauren paru hésiter, comme si la plus infime partie de son corps lui disait de ne pas aller plus en avant. L'ambiance oppressante, l'odeur suintante et l'aspect morbide de ces lieux lui offrait un avant goût de l'enfer...

Un vent glacé enlaça le guerrier et la voix stridente de la morte vivante s'éleva des profondeurs :
– « Crois tu sincèrement avoir le choix...Cali ? Crois tu que t'as vie t'appartiens en cet instant ? »

Les yeux du tauren se remplirent de crainte, il était à sa mercie, n'ayant que pour seule option de la suivre dans ce qui semblait être l'antre du mal. Il déglutit, pris une longue et profonde inspiration, se retourna vers le groupe derrière lui en leur jetant un dernier regard, puis, la peur au ventre, il avança, d'un pas mal assuré, vers l'embrasure où avait disparu la créature.

Arrivé à l'entrée d' un escalier taillé à même la pierre, il vit ses yeux, uniquement ses yeux.
– « Avance et ne traine pas, nous allons lui rendre visite...à elle! » Le ton de sa voix avait achevé en lui le peu d'espoir de salut qui subsistait. Il n'y aura ni lumière, ni redemption, il savait que, si il sortait d'ici, il aura pactiser avec les aspects les plus sombres de son âme.
– « Elle ? Demanda t il d'une voix fébrile !
– « Silence ! lança t elle d'un ton sec. Ne la regarde jamais, ne l'approche jamais, n'ait aucune pensée de crainte vis à vis d'elle ou... »

Alors qu'ils descendirent de plus en plus profondement dans les entrailles de la terre, le Tauren ne pouvait s'empêcher de craindre la confrontation à venir. Comment faire abstraction de ce doux frisson qu'est la peur ? Comment oublier la sensation de terreur qui se dégageait de cet endroit ? Il savait que cela lui était impossible. Pourtant, il continua, d'un pas de plus en plus assuré...

A présent, un air moite les accompagnaient dans leur descente. Les murs autours d'eux s'élargirent, jusqu'à devenir une imposante structure. Les marches avaient laissé place à un long couloir où seule une lueur d'un bleu sombre virvolait au loin. Les yeux du Tauren s'arrêterent un instant sur les murs, la pierre était entièrement recouverte d'un décor bien plus sinistre. Des crânes de toutes tailles et de toutes formes recouvraient la totalité de l'épais couloir. On aurait dit un tableau de chasse, comme si chaque espèce ayant un jour foulé le sol d'Azeroth avaient contribués à cette oeuvre. Une odeur de souffre se dégageait du fond de la pièce, là où se tenait la faible lueur.

« - Ne t'attardes pas sur les détails, Cali, tu auras le temps d'admirer son oeuvre plus tard ! »

Alors qu'ils se remirent en route, un rire strident, effrayant, surgit des abysses. Il semblait sortir des murs, comme si chaques crânes présents autour d'eux se régalait de la venue de ce nouvel arrivant. Un goût de sang...c'était bien le goût du sang qui venait d'apparaître dans sa bouche. La peur qui l'avait quitté venait de l'étreinde plus sauvagement que jamais. Chaque pas vers cette lumière bleuâtre l'oppressait davantage, le goût métallique se faisait plus âcre et son corps plus lourd.

La goule se retourna vers lui et, en lui faisait signe de se baisser, vint lui chuchoter à l'oreille :
– « Il est encore temps pour toi de mourir car, sache qu'en ces lieux, l'étreinte de la mort peut être plus douce que l'épreuve qui t'attends... Que décides tu ?
– Je ne suis pas un lâche, madame ! »
Un large sourire se dessina sur le visage de la mort vivante... un sourire mêlée d'excitation !
– « Hé bien soit, cela faisait longtemps que je n'avais plus assisté à pareil rituel. Allons la déranger, en espérant qu'elle soit d'humeur acceuillante. »

Ils entrèrent tout deux dans une grande pièce circuclaire où se trouvait, en son centre, une sorte de pentacle entouré de bougies lévitant à un mètre du sol. Les murs étaient toujours recouvert de ces crânes, le Tauren ne pu s'empêcher de les admirer à nouveau. Le rire, épais et angoissant emplie la pièce et lorsqu'il s'estompit, la lueur bleue collée contre l'un des murs disparue en un claquement de doigts.

Une autre goule apparue, le visage enlacé par deux rubans de cuir qui lui couvrait les yeux, elle paraissait aussi malfaisante que la première. Elle s'avanca vers celle-ci d'un pas lent mais assuré avant de s'arrêter net à mi chemin.
– « Hé bien...soeurette...tu es venue m'offrir un encas ? Tu sais que mes murs ont la prétention de n'acceuillir que les plus dignes ? Et pas le premier déchet que tu rencontres sur ton chemin !! »
Sa voix était devenu plus vive et avec sa colère le goût de sang se fit encore plus présent.
- « Du calme Raven, je ne suis pas là pour te nourrir, tu te débrouilles très bien toute seule. Le Tauren qui est ici, souhaiterais nous rejoindre ! »
A ces mots, la goule aux yeux bandés fixa le guerrier et d'un claquement de doigt redevint cette lumière ténèbreuse. Elle s'avance vers lui, tourna autour, l'inspecta minutieusement avant de s'en détourner d'un pas brusque. Elle alla s'asseoir sur une espèce de trône fait d'os et de crânes se trouvant au fond de la pièce.
– Oui...il va passer le rituel...il va connaître la douleur...Tauren, es-tu prêt à découvrir les aspects les plus noirs de ton âme ? Es-tu prêt à te confronter à tes propres peurs, à faire ressurgir les souvenirs les plus horribles qu'as enfouit ton esprit ? Es-tu prêt à rencontrer... la Mort ? »
Ces paroles étaient de glace, son ton était cruel et enjoué. Elle se délectait à l'idée de voir se guerrier affronter ses plus grandes peur.
- « Oui, madame, je suis prêt !
– Qu'il en soit ainsi, boit se breuvage Tauren et puisses tu être capable de revenir des enfers ! »
Elle sortie une fiole et en remplie son contenu dans un crâne humain qu'elle tendit au guerrier. Son regard se posa, alternativement, sur le visage des deux goules. Leurs excitations étaient a leur paroxysme, rien ne pouvait gacher un tel moment où seule la souffrance et la douleur allaient surgir des entrailles de cet être gigantesque.

D'un seul trait Cali bu le breuvage... sa vue se troubla, ses membres se mirent à trembler, un genou toucha terre... s'ensuit le second, sa dernière vision fut le regard de cette dénommée Raven...Ensuite il sombra dans les ténèbres...

Throdenken Dim 13 Jan - 16:45

Je me retrouva dans un grand désert de sable. Comment étais-je arriver la ? Oui je m'en souviens, cette maudite goule m'a fait boire son breuvage infecte..
" Qui fais tu jeune impudent ? Que viens tu fais dans mon antre ?
D'ou venait cette voix. Elle était puissante d'autorité et terrifiante. Prenant mon courage je lui répondis :
" Je me nomme C.. "
" Je sais qui tu es, dit-elle sans hausser le ton. Je te connais depuis que tu es né Calimerro' wor sabot-de-sang. J'ai suivit ton apprentisage, tu es devenu un guerrier puissant et respecter. Tu ne compte que sur ta force car il n'y a qu'elle qui peut te sortir de ton combat. Tu te crois sans peur, mais en es tu sur ? "
" j'ai vaincu mes peurs il y a bien longtps, dis'je d'une voix qui tremblante."
" Si tu le dis alors nous allons voir cela.."
En un instant je me retrouva enchaîné a un poteau, les bras écartés. Une forme apparu devant moi, elle tenait une longue épée et dit :
" La peur d'Elle. Tu crois t'en être débarassé. Te souviens tu de la mort de ton maître. Oui, je le vois sur ton visage, tu t'en rappel. "
"Ce n'était pas moi, c'était elle, je n'ai rien pu faire, dis je sous le coup de l'émotion. Laisser moi je ne veux pas m'en rappeler. J'ai oublier tout cela."
Et d'un coup elle me planta son épée dans le bras. Je hurla et commença a me débattre pour me libérer de mes liens. Impossible. Elle continua . La douleur était horrible, Insoutenable et , au moment ou j'allais m'évanouir elle disparu.
" Souviens toi, souviens toi comment il est mort ? Qu'as tu fais ? comment est'il mort ? "
" Non STOP, je ne veux pas m''en souvenir. Je ne veux plus y penser, je ne veux plus.."
" Tu ne veux plus quoi ?"
" Je ne veux plus, je ne veux plus qu'elle s'empare de moi."
" Mais tu ne pourra pas. Car cette force c'est moi qui tu l'es donné. Tu l'as aimé ce jour la, le jour de la mort de ton maître. Je les ressentis, tu adorer cette force, tu en voulait encore plus."
"Vous , c'est vous qui avait tuer mon maître."
" Non TU l'as tué, je n'ai fait qu'exaucer ton souhait le plus cher. Tu voulais de la puissance, et je t'en es donné."
Un grand vide m'envahit. C'était donc moi, le responsable de la mort de mon maître. Il avait été tout pour moi, un ami, un confident, un père. Je l'avais tuer.
" Ah ah ah, tu te croyais invincible car tu étéias fort, mais tout homme puissant a un talon d'achille. Oui vas y, laisse toi envahir par ta colère. Tu te consummera de l'intérieur et tu sera a moi. Ton âme m'appartiendra pour l'éternité."
Ma colère, ma rage. Je la sentis qui grandissait qui décupler mes forces. La soif du sang. Je réussit a me libèrer de mes liens. J'hurla, et sentie cette puissance. Je l'aimais oui, je la voulais. Et plus je la voulais, plus la Mort avait une emprise sur moi. Puis tout a coup, une lumière apparu. Une silouhette se dessina. Lumineuse, iradiant elle aussi la puissance et l'autorité. Puis la Mort me dit :
" Attaque. Laisse libre cours a ta rage."
Alors ma hache apparu dans ma main et j'attaqua. Cette Forme lumineuse était rapide. Elle parait, bloqué, esquivé tous mes coups avec simplicté. J'avais l'impression qu'elle anticiper tous mes mouvements. Même avec la puissance que j'avais acquise par la soif du combat ne pouvait rivaliser avec lui. Puis elle pris la parole. D'une voix calme elle dit :
" Qu'es tu devenu mon enfant ? As tu oublié tout ce que je t'avais appris ?"
Je ne compris pas. Je n'avais qu'une seule envie c'était de ma battre. De tuer cet adversaire. Alors je me jetta dans la bataille. Puis le forme fut moins flou et la je le reconnu. C'était mon maître. La mort hurla sa frustration. Il m'encouragea de plus belle a attaquer. Mais je ne pu. Il posa sa mais sur la mienne et toute ma colère s'évanouit.
" Maître, c'est bien vous ? "
" Oui mon fils. Je suis la. J'ai toujours été la."
" Maître, je n'ai pas été assez fort pour lui résister. Je vous... c'est a cause de moi si vous n'etes plus la. Je m'en veux tellement."
Avec un sourire, il me dit :
"Non ne t'en veux pas. Je le savais depuis bien longtemps que je mourais. De toute ma vie, mon seul bonheur a été de te former. Tu as été comme le fils que je n'ai jamais eu. J'étais très fier de toi, mais ne te laisse pas envahir par ce que tu as acquis, ne te laisse pas faire combat la."
Je m'effondra tellement les paroles de mon maître me toucha. Je me releva, le visage fier et plein de combativité. Puis je dit :
" Merci maître pour tout ce que vous avez fait. Merci pour l'amour que vous m'avait apporter. Cette force qu'Il m'a donné, je la dominerais. Plus jamais je ne me laisserais faire. Cela est une promesse que je vous fait. "
Tout tourna autour de moi, le monde vascilla et je tombit dans un abîme. Juste avnt de dispraître j'entendit dans le lointain :
" Ton apprentis est fort Moliar. Tu peux être fier. T out come toi il a su la dominer. Son combat sera difficile mais ache qu'au moindre faut pas, il sera mien."
Puis un rire diabolique retentit, et ce fut la fin de tout.
Je me réveilla, allonger a même le sol dans la caverne de la goule.
" Relève toi guerrier, malheureusment pour moi tu as réussit le test. je n'aurais pas le loisir de te dévorer. Avance par la maintenant. Soit digne de ta promesse."
Je partis dans la direction qu'elle m'indiqua. Une vive lumière apparu et je déboula dans une grande caverne ou tous y étaient...

Undeaddoll Lun 14 Jan - 20:09

Des milliers de bougies ornaient le sol, dessinant un étroit chemin jusqu'à un autel. Devant celui-ci, la chef spartiate drapée d'une cape rouge cachant son visage, tenait dans sa main droite un baton d'ébène d'où émanait une ombre à la fois sombre et rougeoyante..

Carpaccio fit signe au guerrier d'avancer.Calimerro s'approcha alors de la créature et mit un genou à terre...
"- Guerrier Calimerro, tu as survécu à l'épreuve qui t'avait été donnée. Retiens de celle-ci : la peur est toujours présente, mais l'accepter te rends plus fort. On m'appelle Undeaddoll, je suis chef de ce clan, jamais tu ne sauras mon véritable nom, jamais tu ne connaitras mon passé,car telle est notre loi. Ici commence ta nouvelle vie, ici tu renaîtras Loup. Et ce qui fait la force du Loup c'est celui pres duquel il combat, aussi respecte-le, honore-le et il fera de même avec toi.Combats avec ta tête, ensuite avec ton coeur. M'as-tu comprise ?
- Oui Maître ! "

La goule saisit alors une dague posée sur l'autel, releva sa manche et d'un geste sûr, entailla son poignet. Ce que Calimerro vit sortir de cette plaie, n'était certes point du sang, mais point non plus le liquide verdâtre habituel chez un mort-vivant, il était noir, aussi noir que pouvait être l'âme de la créature. Quelques gouttes tombèrent sur le sol qui se mit à fumer à l'endroit de l'impact. Undeaddoll passa une de ses griffes sur la blessure, se pencha sur le tauren et repoussa sa crinière. Le guerrier sentit alors une vive brûlure lui prendre la nuque.

Son nouveau maître se redressa quelques instants plus tard et lui prit la main pour l'inviter à se relever.
" - Te voila Loup de Sparte Calimerro, les marques à présent gravées dans ta chair représentent tes trois devoirs : respect, honneur et gloire. Sois digne d'eux et ne les oublient jamais. Maintenant vas ! "
La goule tourna le dos au tauren, enleva sa capuche, il aperçu à ce moment dans son cou, les trois griffures semblables aux siennes accompagnées d'un tatouage formant une tête de loup ... Elle posa la cape sur l'autel et s'en alla en boitant, sans doute finir de dévorer le malheureux nain.

Calimerro rejoignit ces deux compagnons qui l'attendaient à l'entrée de la salle, Carpaccio lui tendit un paquet contenant le tabard aux couleurs du clan et tous trois sortirent de la grotte...

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